Lien. Sur YouTube. Retranscription.
Géopolitique = rapport de puissance, imposer sa volonté. Exemple : différend sur les licences de pêche à Jersey en 2021. Je pense que l'orateur surestime l'effet de la menace française de couper le courant à Jersey, car les patrouilles militaires en mer ont perduré au-delà. Mais, en effet, le gus qui avait choisi d'alimenter l'île depuis la France avait très probablement fait un excellent choix technico-financier, mais en cas de crispation diplomatique, le tarif au kWh devient secondaire, il faut aussi prendre ça en compte. Autre exemple : la guerre en Ukraine a remis en cause pas mal de business avec la Russie… Si tu commerçais beaucoup avec la Russie et que t'es un petit acteur et/ou que tu n'as pas de plan B, t'es fichu ;
Définitions de « souverain » :
Stratégie nationale :
Stratégie d'entreprise :
Lien. Sur YouTube. Compte-rendu.
J'ai déjà pointé trois plaidoiries au Conseil constitutionnel de cet avocat.
Ci-dessous, quelques causeries qui se complètent et que je trouve très intéressantes. Liberté, politique, histoire, philosophie du droit, spiritualité.
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Recul de la substance des libertés : elles ne sont pas uniquement individuelles (se déterminer dans sa propre vie), elles sont nécessaires pour construire un sujet politique libre qui, par son choix libre, légitime ses dirigeants. Elles ont été grignotées. Exemples habituels : rétention de sûreté (aucune possibilité de rédemption), consultation de sites terroristes (délit d'opinion), interdiction individuelle de manifester (l'État choisit ses amis) ;
Crise des catégories juridiques :
Crise du raisonnement constitutionnel :
Origine de ce recul et de ces crises :
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Une civilité parfaite contrôlée par l'État (contrôler l'expression, l'information, la manifestation, etc.) va à l'encontre du chemin personnel placé, par la religion judéo-chrétienne puis par notre système politique, au-dessus de tout au prix de l'errance, de l'erreur (ce propos me heurte, cette émeute est douloureuse, je me suis planté dans mes choix, etc.). Ce rêve (de la civilité parfaite) est une fausse paix pour s'éviter un combat individuel spirituel avec le Mal qui vise à se perfectionner et à perfectionner la société ;
Révolution française : passage d'une société du commandement (roi incarnant Dieu c'est-à-dire un absolu, un référentiel), de l'ancien ordre des choses, vers une société du projet politique.
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Questions :
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La touche « : » de mon clavier est cassée (déclipsée, le plastique souple s'est désolidarisé donc absence de contact, etc.).
Je souhaite que la touche « maj droit », que je n'utilise pas et qui est proche, la remplace dans son rôle dans mes applications graphiques portées par Xorg (X.Org).
Réponse : xmodmap -e "keycode 62 = colon slash"
.
Pour consulter la correspondance : xmodmap -pk
. C'est comme ça que j'ai lu « 60 0x003a (colon) 0x002f (slash) » et « 62 0xffe2 (Shift_R) 0x0000 (NoSymbol) 0xffe2 (Shift_R) ».
Ça n'est pas permanent (ça ne résiste pas à un redémarrage), mais peu importe : j'utilise le suspend-to-ram.
J'avais raté ça : l'article 15 de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales permet à un État de prendre des mesures y dérogeant en cas de guerre ou de « danger public menaçant la vie de la nation ». Il est impossible de déroger au droit à la vie, à l'exclusion de la torture et de l'esclavage, et au principe de légalité (un texte pénal clair et précis doit prévoir en amont une peine).
La France a dérogé à la ConvEDH du 24 novembre 2015 au 2 novembre 2017 (état d'urgence terrorisme Charlie + Bataclan). Elle ne l'a pas utilisé pour le Covid.
(ÉDIT DU 28/10/2023 : en fait, non, j'avais pas raté l'info. :- FIN DE L'ÉDIT.)
Mes remarques :
Causerie de 2008 sur le voyage dans le temps et donc sur le temps.
Questions du public :
Visite, par M. Bidouille, du chantier industriel du réacteur international et expérimental de fusion nucléaire situé à côté du CEA de Cadarache, en PACA + explication du fonctionnement.
Fusion d'atomes légers, deutérium (à partir de l'hydrogène, donc de l'eau) et tritium (à partir du lithium, terre rare en concurrence avec les batteries).
Objectifs : faire durer la fusion durant 400-600 secs (actuellement on est à 1 sec) + produire plus que ce que consomme le chauffage du plasma et les auxiliaires genre cryo, champs magnétiques, etc. (jamais atteint pour l'instant. ITER consommerait 300 MW dont 50 MW pour chauffer le plasma, et générerait environ 500 MW) + passage à l'ère industrielle (développer une filière, des machines-outils, des compétences, des méthodes, etc.)
Via Johndescs.
Visite (entre guillemets), par M. Bidouille, du centre national d'exploitation du système de RTE (CNES).
Blackout : Comment s'éffondre un réseau électrique et comment le reconstruire ? :
Une défaillance localisée peut entraîner des défaillances en cascade, et donc l'effondrement du réseau.
Via Johndescs.
Ce docu a beaucoup tourné (dans le Canard, dans la rivière de shaarlis, etc.). Je le trouve inintéressant.
L'introduction compare quelques consignes d'un taff à celles d'un manuel de sabotage pondu par l'ancêtre de la CIA sous un ton trompeur ("mais comment nos journées de taff peuvent-elles être tirées d'un manuel de sabotage ?!"). Évidemment, c'est une sélection biaisée de citations (le manuel traite essentiellement du sabotage concret de machines, de transmissions, d'organisations, etc.). Je ne retrouve pas en l'état les points cités (propos tronqués, divergence sur la traduction). Je ne suis pas opposé à tous les points cités ou ceux de la section 11, genre décisions collectives, ne pas expédier une décision (ça permet aussi d'éviter de faire nawak), etc. Enfin : quel rapport avec la perte de sens au travail ?
C'est aussi peu pertinent que d'exposer que le management moderne serait inspiré du nazisme (je le mentionne ici afin de faire un tir groupé, car ça tournait longuement y'a 1-2 ans, quand bien même ce n'est pas tout à fait ce qu'a écrit l'auteur) ou que la planification étatique relève exclusivement du communisme. C'est destiné à faire peur et/ou à convaincre par une comparaison truquée. Des techniques / tactiques / stratégies peuvent être mises en œuvre par des groupes aux idéologies / motivations différentes afin d'atteindre des fins / buts différents. Les nazis avaient besoin de coordonner des personnes et d'organiser des activités productives, donc, oui, ils ont eu recours à des méthodes pour ce faire, comme d'autres groupes avant et après eux.
Le docu, de type compilation de témoignages personnels de salariés remis d'un burn-out, est un pot pourri / passe du coq à l'âne : stress comme composant du burn-out, comédie / hypocrisie / simuler l'épanouissement, patron inutile, retour au burn-out, vacuité des tâches, pression scolaire puis sociale, l'éducation tue la curiosité, répartition des gains entre travail et capital, rythme de taff, etc. Conséquence : chaque thème est traité superficiellement (par ex. : pourquoi a-t-on créé en masse des emplois inutiles, dont d'encadrement et compagnie ? Pour fournir des emplois suite à la mécanisation plutôt que de répartir les gains de productivité induits ? Pour entretenir une prospérité personnelle garante de la paix sociale ? Qu'est-ce que ça rapporte au méchant système ?). Prononcer des allusions, c'est bien, approfondir, c'est mieux.
Rigolo aussi qu'il compile des témoignages "c'est de ma faute, je voulais la réussite et/ou avoir une belle maison et/ou …" qui ne sont pas tellement raccord avec la dénonciation d'un méchant système (qui n'est d'ailleurs pas vraiment nommé ni explicitement dénoncé).
Stats au doigt mouillé et/ou pas vraiment sourcées tout le long.
L'orateur n'en parle pas, mais je me suis demandé les différences par rapport à Gopher. En gros, Gemini est un compromis entre Gopher et le web. Attention : compromis dans les deux sens, Gemini revient aussi en arrière (entre guillemets) sur des aspects jugés contestables de Gopher (notamment les liens, ou les tabulations, ou l'indication du type du fichier pointé) + chiffrement obligatoire (bidouillage "récent" dans Gopher) + prétend éviter l'ajout de fonctionnalités / extensions par la philosophie derrière la spécification (je pense que c'est totalement pipeau). Source.
« le droit, pour l'auteur d'une œuvre d'art graphique ou plastique originale, à percevoir un pourcentage sur le prix obtenu pour toute revente de cette œuvre.
En France, le droit de suite est l'objet de l'article L122-8 du Code de la propriété intellectuelle2. Il va de 4 à 0,25% du prix, tout en étant plafonné à 12 500 €.
QUIC est implémenté dans l'espace utilisateur. TCP l'est dans le noyau. C'est volontaire afin de ne pas dépendre d'un éditeur de systèmes pour corriger un problème de performance dû à la pile TCP du noyau (Google soupçonne Microsoft, par ex.). Cela me conforte : le NAPT s'appuie sur les ports UDP, pas sur les Connection IDs. Cela signifie aussi qu'il n'y a pas d'API standard (l'équivalent de socket()
) ;
Usages :
Voir aussi : Le protocole QUIC désormais normalisé.
Une personne a évoqué devant moi une causerie similaire du même auteur, Notre cerveau, ennemi de la planète ? de 2021, mais elle n'est plus disponible à l'URL communiquée. Cette causerie m'a été présentée sous l'angle science contre climat, "encore une raison de rien faire", "encore un mirage avant de crever", etc. Ce n'est pas ce que je comprends de la causerie plus récente pointée par ce shaarli et dont je vais parler. Quand bien même, il y a toujours deux façons de voir les choses : soit justifier le défaitisme par une connaissance, soit tenir compte de la connaissance pour adapter la stratégie. Je m'attendais à la thèse habituelle "l'humain est incapable de planifier" (ha bon ? Jamais les individus, les associations, les sociétés commerciales, les gouvernements ne planifient ?!), j'ai été servi. Mais il ne faut pas s'arrêter à ça.
Il y a au moins deux zones dans le cerveau : le cortex, qui planifie, qui voit au long terme, d'où vient l'intelligence qui nous a permis, entre autres, de modifier notre environnement ; et le striatum, qui est chargé de la motivation, du désir de faire des choses, dans l'immédiat, surtout dans un instinct de survie, via l'injection de dopamine dans le cerveau. (Des humains au striatum endommagé, par un AVC par ex., n'ont même plus envie de rien, y compris de manger.) Il aurait cinq fonctions : manger, se reproduire, acquérir du pouvoir (car + de nourriture et de partenaires sexuels + facilement), limiter les efforts, et trouver de l'information. Il ne connaîtrait pas de limite (tel un chien qui ne sait s'arrêter de manger ? Pourtant l'homme y parvient…). Le problème est entendu : un striatum prévu pour gérer la rareté plongé dans le monde de l'abondance créé par le cortex, ça se passe mal.
Mais, pourtant, le cortex sait juguler le striatum, il y a même un circuit neuronal prévu pour. L'orateur nous rappelle que l'humain a su construire sur le temps long, y compris pour satisfaire notre striatum : élevage, agriculture, architecture, cathédrales, mécanisation, etc. Pour ma part, je constate que tout le monde n'est pas obèse, ne mate pas du porno en permanence, n'est pas sur les réseaux sociaux, etc. L'orateur décrit même très brièvement ce qui semble être des arbitrages internes au striatum, comme la limitation de l'effort qui nous empêcherait de nous lever du canapé pour aller chercher de la bouffe (qui est pourtant un autre besoin du striatum).
Enfin, le cortex cingulaire antérieur cherche le sens dans nos actions.
Que faire ? Éduquer (l'habituel grand remède à tout…). Prendre conscience de cette contradiction interne de notre cerveau. Développer notre patience, résister progressivement aux plaisirs immédiats. Définir des normes sociales (qui seules expliquent que les femmes sont plus altruistes que les hommes, recherchent moins le pouvoir et le sexe, etc. ‒ ha ? donc le striatum se reprogramme sur un temps court et n'est donc pas le problème ?! ‒). Développer un imaginaire / une vision commune.
L'humanité a su définir des cadres du vivre ensemble via des institutions comme les rituels / religions (les 10 commandements : prédire le comportement de nos semblables ; les prières : créer du lien social, de prédire qui pense comme nous et n'est donc pas un danger + créer un espace-temps d'apaisement durant lequel pas grand monde osera attaquer), le savoir (la science prédit mieux qu'un oracle), etc. L'orateur suggère que leur perte d'influence est une des causes du problème, et j'y vois une explication possible du retour du religieux que l'on semble observer sur la dernière décennie.
Au final, je retiens qu'il y a tout ce qu'il faut dans notre cerveau, qu'il n'y a point de « bug humain » (titre d'un des livres de l'auteur), que le problème (y compris l'éventuel dérèglement de l'équilibre entre différentes zones de notre cerveau) est d'origine sociale, qu'il est lié à une organisation sociale qui n'est pas nommée par l'orateur : le capitalisme néolibéral. Le marketing, l'obsolescence, etc., nommés par l'orateur, n'existait pas antérieurement. Bref, une causerie pour pas grand-chose.
Notes critiques prises à la volée :
Énième piqûre de rappel.
Choix qui ont des conséquences politiques abordés : chiffrement, Unicode, tri sur un réseau social / moteur de recherche, tester le site web qu'on développe avec un seul navigateur, complexité d'une norme rendant impossible une nouvelle implémentation depuis zéro, architecture centralisée versus décentralisée, magasin d'application, vérification auto des formulaires web, traqueurs dans les applis mobiles.
Une norme est compliquée ou est-ce les humains qui sont compliqués ? Unicode ne fait que représenter la diversité et la complexité des langues pré-existantes.
L'inaction, rester dans l'état actuel, le conservatisme, est un choix qui aura des conséquences politiques, autant que l'action.
Dépolitisation (« L'ordinateur ne veut pas ») plutôt que d'assumer un choix.
Un choix qui semble technico-pragmatique (je n'ai pas le temps de coder cette fonctionnalité, j'utilise une bibliothèque de fonctions qui flique) a des conséquences plus étendues.
Je suis moins d'accord sur le non-sens que serait la réclamation d'un moteur de recherche neutre. En effet, il y a forcément des critères de tri (pertinence, présence de mots, chronologique, etc.), donc la demande de neutralité est vaine, mais la demande cachée sous le mot « neutre » peut aussi être celle de l'absence d'un surclassement des services de la société éditrice du moteur de recherche ou de partenaires rémunérateurs, ce qui a du sens.
En lisant ce qu'est Encrypted Client Hello chez Cloudflare, je suis tombé sur Oblivious HTTPS / OHTTP / Oblivious DNS-over-HTTPS. Fastly en parle également (via SebSauvage).
En gros, c'est du HTTPS en "double aveugle", une version simplifiée du routage en oignon de TOR : un relai (Fastly ici) connaît le demandeur mais pas le contenu (requête et réponse), et la destination connaît le contenu mais pas l'adresse IP du demandeur. Bref, c'est un proxy transparent.
Je suis très sceptique :
Ça rajoute un intermédiaire, ça complexifie un diagnostic, ça n'apporte pas grand chose, et ça n'a d'intérêt que dans un monde d'acteurs hégémoniques.
Encrypted SNI (ESNI) n'est toujours pas normalisé à l'IETF que Cloudflare propose déjà la suite : Encrypted Client Hello (ECH).
Apports :
La solution proposée par CF ressemble à EAP TTLS que l'on retrouve dans 802.1X : un tunnel extérieur "générique" (sans infos confidentielles) sert à établir un tunnel interne dans lequel circulera le nom d'hôte demandé (SNI) et les échanges entre client et serveur (requête web, réponse, etc.). Si le client tente d'établir le tunnel interne en connaissant une mauvaise clé, le serveur peut lui proposer la bonne dans le tunnel extérieur (après échec de la négociation du tunnel intérieur), et le client peut tenter d'établir un nouveau tunnel intérieur avec. Concrètement, le tunnel interne est une extension TLS.
Je pense que ça a un intérêt uniquement sur de l'hébergement mutualisé (au sens propre ou CDN), sinon le SNI du tunnel externe, qui doit être valide pour être vérifié (et garantir l'authenticité de l'éventuelle clé reçue en repli), révèle lui-même le nom du site web que l'on veut consulter.
Règlement européen en cours visant à réguler l'IA.
Bref, rien de transcendant, règlement plutôt flou et timide.
Sources :
ÉDIT DU 21/12/2023 :
Accord entre les co-législateurs de l'UE début décembre 2023. Changements :
Le texte doit être approuvé dans les mêmes termes par le Parlement UE et le Conseil, après les derniers affinages techniques.
Sources :
Pendant ce temps, chez les ricains : décret présidentiel (circulaire qui contraint uniquement l'administration). Déclaration et coopération avec les autorités si IA dangereuse (économie, sécurité nationale, santé publique, etc.), tests, commande d'études (sécurité, perte d'emplois), et invitation à ajouter un filigrane aux œuvres.
FIN DE L'ÉDIT DU 21/12/2023.
ÉDIT DU 24/03/2024 : le Conseil de l'UE a adopté l'AI Act le 2 février 2024. D'après le Canard enchaîné du 21/02/2024, la France a plaidé pour un allégement des obligations de transparence, et a obtenu, à cet effet, une mention du secret des affaires dans le texte. FIN DE L'ÉDIT DU 24/03/2024.
Règlement européen en cours d'adoption. Ne sera pas appliqué avant 2025 au mieux.
Suite du Data Governance Act (DGA) de 2022 (règlement 2022/868) qui vise à favoriser le partage et la réutilisation des données (faciliter la réutilisation des données protégées du secteur public ‒ secret des affaires, propriété intellectuelle, etc. ‒, certification des services d'intermédiation de données, et des entités qui partagent leurs données ‒ sorte de hall of fame ‒ , centre européen de l'innovation dans les données, transfert des données à des organisations œuvrant pour l'intérêt général ‒ santé, climat, recherche, etc., au choix des États membres ‒), cf. Qu'est-ce que le Data Governance Act, le nouveau règlement européen ?
Bref, rien de transcendant, règlement plutôt timide, plus de questions que de réponses, ce qui explique qu'on n'en est pas entendu causer, y compris dans la presse spécialisée.
Sources :
Projet de loi en cours de "discussion" au Parlement français (il reste la CMP).
Critiques :
ÉDIT DU 24/12/2023 : on attend toujours la réunion de la Commission Mixte Paritaire. FIN DE L'ÉDIT DU 24/12/2023.
Sources :
2020 : les sites web qui permettent d'accéder à du porn (ça va donc au-delà des sites porno, cf. point 2022) ne peuvent plus se contenter d'une auto-déclaration "j'ai plus de 18 ans" par leurs visiteurs. En cas de manquement, l'ARCOM (ex-CSA+HADOPI) peut demander au juge judiciaire le blocage du site web contrevenant. Loi 2020-936 visant à protéger les victimes de violences conjugales (parce que, évidemment, la majorité des auteurs de violences conjugales sont accros au porn, c'est bien connu).
2021 - maintenant :
2022 :
2023 :