Suivant l’exemple des épouses athéniennes imaginé par Aristophane dans « Lysistrata », des milliers d'Ougandaises ont fait savoir qu'elles entamaient « une grève du sexe » pour « punir les maris paresseux, dépensiers et irresponsables ». Le magazine « Amina » (septembre) précise que « ce qui était à l'origine une blague s'est répandu comme une traînée de poudre ». Mais la suite du mouvement laisse perplexe : certaines épouses « exigent désormais d'être payées pour un rapport sexuel si le mari ne change pas de comportement ».
Avec des réductions s'il prend une carte de fidélité ?
Dans le Canard enchaîné du 5 septembre 2018.