Cela va mieux entre l’Italie et la France. La preuve, notre ambassadeur a repris l’avion pour Rome. Et, surtout, comme nous l’apprend « Le Parisien » (13/2), « magistrats transalpins et français [se sont réunis mercredi et jeudi derniers] à Paris pour évoquer le sort des ex-activistes d’extrême gauche réfugiés dans l’Hexagone ».
C’est l’une des ohsessions du ministre italien de l’Intérieur, le néofasciste Matteo Salvini : récupérer les « brigadistes » des années 70, qui seraient une quinzaine en France. Après tout, Salvini a réussi son coup avec la Bolivie pour Cesare Battisti.
Pourquoi pas avec la France ?
Dans le Canard enchaîné du 20 février 2019.