Un jeune Viking un peu maigre et sans musculature ne trouve pas sa place dans sa tribu. On y chasse tout dragon qui tente de s'approcher, car, sinon, ils ravagent tout. Et si, plutôt que de mener un combat sans fin, on étudiait ces animaux, on en recensait le résultat dans une encyclopédie, on faisait ami-ami, et l'on apprenait à les apprivoiser ?
Il y a beaucoup de choses positives dans ces films : être soi-même malgré les autres, étudier l'autre plutôt que de lui faire la guerre, séduction saine et touchante, difficulté à tenir ses valeurs humanistes en toutes circonstances, etc.
Je recommande vivement le visionnage de ces dessins animés. Le premier film et le troisième se démarquent. Le deuxième est le cliché viril habituel "y'a des gens qui n'apprécient pas que tu amadoues les dragons car ça porte atteinte à leur business, donc ça va déclencher une belle guerre". Cela va à l'encontre de ce qui est développé dans les autres films !
Un détective privé (Depardieu) doit faire équipe avec un gaffeur malchanceux qui s'ignore (Pierre Richard) afin de retrouver la fille malchanceuse d'un grand PDG qui a été enlevée durant ses vacances au Mexique.
Visiblement, il s'agit d'un grand classique dont j'ignorais l'existence. Je n'ai pas aimé ce film. Les gaffes pas vraiment drôles s'enchaînent et pis c'est tout. Oui, Pierre Richard est drôle quand il tente de s'imposer face à Depardieu, mais c'est un lot de consolidation plutôt mince.
Un enfant veut devenir musicien contre l'avis de sa famille. Quel drame familial se cache derrière cette détestation familiale de la musique ?
J'ai bien aimé ce film. Miguel est un passionné. Il doit devenir lui-même contre l'avis de sa famille. Il découvrira que les personnes que l'on estime en héro ne le méritent pas et que les apparences sont trompeuses. Et, comme dans tant d'autres œuvres culturelles, il découvrira avec tristesse que les morts disparaissent définitivement quand plus personne se souvient d'eux et propage leurs histoires. L'ambiance musicale de ce film est cool et rythmée.
Je recommande le visionnage de ce dessin animé.
Une banque d'investissement a créé un nouveau produit financier dérivé très lucratif qui regroupe plusieurs prêts hypothécaires de qualité variable. Pour les constituer, il faut les conserver au coffre plus longtemps que désiré. La société s'est donc endettée bien au-delà des seuils normaux et acceptables. Sur les deux dernières semaines, le marché autour de ce produit dévisse de temps à autres. Si ça persiste, la perte générée dépassera de loin la valeur de la société. Tient, ça rappelle 2007-2008 et ce n'est pas un hasard.
Ce film dépeint la magie du milieu financier et du milieu professionnel. La sous-notation forcée (obliger les chefs d'équipe à sous-évaluer un quota prédéfini de travailleurs. Objectifs : exercer une pression constante, augmenter la productivité, licencier au motif d'insuffisance professionnelle, etc.). Les licenciements massifs (40 % de l'effectif en un jour) et froids (expéditif, topo impersonnel des RH, le 06 professionnel est immédiatement désactivé). Les chefs qui font leur petite crise d'autorité (« j'ai décidé donc ça sera comme ça ! »). Refourguer tous les produits financiers pourris aux autres, refiler la patate chaude, ruiner les autres pour se sauver soi. « Ma perte fait ton profit ». Mensonge. Pour réussir, il faut être le premier ou être brillant, ou tricher.
Ce film illustre plutôt bien que la prétendue « confiance des marchés financier », c'est du flan : les chefs de la banque d'investissement fautive ont survécu à plusieurs crises boursières et savent bien que, même si, aujourd'hui, ils ont trompé leurs partenaires de jeu en leur vendant des produits qui ne valent plus rien, demain, les affaires reprendront. La """"confiance"""" sera revenue comme par magie. Tant que t'as le produit qui génère des profits, t'as le pigeon.
Ce film n'apprend rien aux informés, mais il peut servir d'initiation très sommaire au monde de la finance.
Une fiction sur la vie du scientifique Stephen Hawking. Notons que ce film a été produit et diffusé avant sa mort.
Ce film se concentre sur la vie privée de Stephen Hawking. Ses maladies (Charcot, pneumonie), bien sûr, mais aussi son environnement proche. Hoooo l'amour entre Stephen et Jane est trop choupinou. Hoooooo que l'amour fait reculer la maladie de Charcot. Hooooo que Jane prend soin de lui comme une gentille petite femme.
Je n'ai pas aimé ce film. Trop niais. Trop long.