Débat plutôt stérile autour de l'état d'urgence.
Notes :
- « Si l'on a rien à se reprocher, on n'a pas à être contrôlé » ;
- Il y a des individus névrosé qui passent à l'acte "parce que l'état islamique leur a demandé" afin de s'offrir une mort publique plutôt qu'une mort asociale. Ils trouvent de la motivation à leur geste désespéré là où elle se trouve. Sont-ils des terroristes pour autant ? ;
- Les Israéliens ont adopté des réflexes qui semblent limiter le nombre d'attentats : amener son enfant à l'école à pied sur les derniers mètres, toujours avoir un regard sur la rue en étant dos au café, plusieurs fouilles par jour y compris dans le parking des centres commerciaux, bénévoles des secours en moto, etc. ;
- Une étude montre que 8 individus sur 9 qui se rendaient sur les lieux d'action de l'état islamique en revenaient en France sans intention de continuer une action politique. 1/9 passe à l'acte. Il semble y avoir beaucoup de déçu qui n'ont pas trouvé là-bas la société idéale qu'on leur avait promis.