Le réseau informatique du Parlement britannique a enregistré 160 demandes d'accès à des sites pornographiques entre juin et octobre 2017 (« Ouest France », 8/1 ). Shocking ? Non, car, à en croire la direction du Parlement, la majorité de ces connexions, effectuées depuis les ordinateurs des députés et de leurs assistants, n'étaient pas « volontaires ».
Seulement pulsionnelles ?
À rapprocher du cas Damian Green, le numéro 2 de la première ministre Theresa May qui a été contraint de démissioner suite à du harclément sexuel présumé et à la découverte de milliers de photos pornos sur l'ordinateur de travail qu'il utilisait en 2008 en tant que député.
C'est les mêmes politicien⋅ne⋅s qui ont instauré le blocage par défaut des sites web pornos sur les accès Internet du pays… Comme d'habitude, faites ce que je dis, pas ce que je fais.
Dans le Canard enchaîné du 10 janvier 2018.