Pikachu, Salamèche, Insécateur, Ronflex… En 1996 sortaient les jeux pour GameBoy Pokémon Bleu et Rouge, avec 151 bestioles imaginaires qu’il fallait «toutes attraper». Vingt ans plus tard, Julien Bardakoff détaille son travail de traduction chez Nintendo pour franciser leurs noms, truffés de références et de jeux de mots.
Intéressant. À titre d'exemple, je me demandais pourquoi « Taupiqueur » et « Triopikeur » (« qu » versus « k » )… Parce que le nom d'un Pokemon est limité à 10 caractères sans accents (car les noms de Pokemon s'écrivaient en majuscule et que la cartouche Game Boy ne supportait pas les majuscules accentuées).
Via Quota Atypique.